Né fin des années 90 en France et motivé par une ambition artistique croissante depuis son plus jeune âge, le « mauvais garçon » du Pop Art quitte l’école prématurément pour se lancer dans une carrière professionnelle de peintre. Depuis, les années sont passées et Onizbar, multiplie les partenariats avec de grandes maisons ainsi que les expositions et live paintings dans différentes galeries et lieux atypiques de la capitale française mais aussi en Autriche, en Belgique, en Italie et en Suisse, s’assurant une solide réputation dans le milieu du Pop et Street art. Fan de Marvel, DC comics, du dessinateur Bruce Timm, du monde de Disney et de l’univers des mangas japonais, Onizbar puise son inspiration dans la culture pop avec laquelle il a grandi. Plus tard, il découvre les œuvres d’artistes contemporains comme Jean Michel Basquiat, Andy Warhol, Keith Haring, ...qui bouleverseront l’évolution de son travail de façon important. Il se permet de fusionner cette addiction au monde de l’art dans lequel il évolue à ses personnages de fiction favoris pour un résultat brut et unique illustrant une génération désabusée, éduquée par les jeux vidéo et les dessins animés.